Montage mécanique pour centrale photovoltaïque Montage mécanique de centrale photovoltaïque au sol
Nous sommes à l’heure actuelle à la recherche d’un partenaire « monteur-installateur » spécialiste du lot mécanique ou souhaitant se développer sur ce métier. Nous maitrisons l’ensemble des problématiques liées à ce segment : commercial, contractuel & juridique, technique & opérationnel, financier et RH. |
Le montage mécanique, une branche sous tension. Dans le milieu de la construction des centrales photovoltaïques (PV), le montage mécanique connaît une forte pression. Ce métier qui consiste à réaliser les fondations, installer les structures de support et monter les panneaux PV souffre d’une crise de croissance. Les grands volumes photovoltaïques à construire, en cours et à venir, sont synonymes d’une forte augmentation du besoin en main d’œuvre de montage. |
Spécialiste du marché français, DADUM offre un appui solide à votre positionnement stratégique. Que cela soit dans le cadre d’une démarche de consolidation ou bien de diversification, nous saurons jouer le rôle de catalyseur des forces. Si vous rechercher un allié stratégique, venez nous rencontrer.
Les sociétés menant à bien ces travaux sont des entreprises spécialisées dans la gestion de main d’œuvre ouvrière spécifique à cette niche bien particulière. L’activité peut se définir ainsi : gérer du personnel ouvrier dans de grands espaces extérieurs (sur plusieurs dizaines d’hectares), au cours de toutes les saisons, sur des tâches manuelles très répétitives et pour des travaux à haut niveau de pénibilité (intempéries climatiques, bruit, poids, répétitions, …), avec des exigences de précision et de tolérance en millimètres (mm).
Pour un ordre d’idée, un chantier moyen de 10MWc, représente plusieurs milliers de fondations, environs 20.000 panneaux, quelques millions d’éléments de visserie à serrer, contrôler et marquer, et plusieurs dizaines de milliers d’éléments de structure métallique. La tolérance pour la position des fondations est en moyenne de +/- 20mm, la tolérance des espaces entre panneaux est quant à elle de +/- 3mm.
Force est de constater que plus de 80% des sociétés exerçant ce métier en France sont d’origine étrangère.
Pour un ordre d’idée, un chantier moyen de 10MWc, représente plusieurs milliers de fondations, environs 20.000 panneaux, quelques millions d’éléments de visserie à serrer, contrôler et marquer, et plusieurs dizaines de milliers d’éléments de structure métallique. La tolérance pour la position des fondations est en moyenne de +/- 20mm, la tolérance des espaces entre panneaux est quant à elle de +/- 3mm.
Force est de constater que plus de 80% des sociétés exerçant ce métier en France sont d’origine étrangère.
Une filière en manque d’experts de l’installation
A cette difficulté de construire des projets de plus en plus nombreux vienent s’ajouter des contraintes nouvelles. Les terrains éligibles sont de plus en plus complexes et contraignants. Les fortes pentes, les sous-sols hétérogènes forcent à une grande maîtrise et expertise en la matière.
Les maîtres d’œuvre ont changé. Les grands groupes sont aujourd'hui majoritaires. Leurs influences imposent au secteur une amélioration en terme de normative qualité et d’exigence RES.
Le revers de la médaille de la montée en puissance du photovoltaïque est que pour maintenir sa place de leader des ENR, il lui faut maintenir un prix agressif. Autre fois artisanale, la filière s’industrialise et les marges s’alignent au modèle. Il ne sera pas possible de compter sur de nouveaux entrants qui ne bénéficieront pas de marges suffisantes pour financer leurs essais/erreurs et leur développement. Sourcer, former et fiabiliser du personnel demande des mois et des années.
A cette difficulté de construire des projets de plus en plus nombreux vienent s’ajouter des contraintes nouvelles. Les terrains éligibles sont de plus en plus complexes et contraignants. Les fortes pentes, les sous-sols hétérogènes forcent à une grande maîtrise et expertise en la matière.
Les maîtres d’œuvre ont changé. Les grands groupes sont aujourd'hui majoritaires. Leurs influences imposent au secteur une amélioration en terme de normative qualité et d’exigence RES.
Le revers de la médaille de la montée en puissance du photovoltaïque est que pour maintenir sa place de leader des ENR, il lui faut maintenir un prix agressif. Autre fois artisanale, la filière s’industrialise et les marges s’alignent au modèle. Il ne sera pas possible de compter sur de nouveaux entrants qui ne bénéficieront pas de marges suffisantes pour financer leurs essais/erreurs et leur développement. Sourcer, former et fiabiliser du personnel demande des mois et des années.
Autre facteur : alarmée par l’explosion du nombre de déclarations de détachement faite par les entreprises étrangères venant travailler sur les projets PV, l’inspection du travail et de la concurrence (DIRRECTE) a multiplié ses interventions et compte mener une lutte acharnée contre les entreprises pirates opérants dans le secteur. |
En résumé, il va être de plus en plus difficile de trouver des entreprises de montage capables de répondre aux critères requis par la filière en termes de volume, de qualité et de valeur RSE. Être capable de doubler ou tripler ses effectifs, avec leur encadrement, en très peu de temps. Fournir en grand volume une main d’œuvre robuste, précise, expérimentée, fiable et économique est une équation somme toute difficile à résoudre. |